
A Quetzaltenango, je loge dans une maison coloniale pleine de charme, dont l'intérêt est double: rachetée par une Américaine philanthrope, cette maison emploie des femmes indigènes seules - veuvage ou autre raison. Elles sont charmantes mes hôtesses, un peu gauches, pleines de bonne volonté. Et leur cuisine tout à fait savoureuse (le poulet habituel, agrémenté... au vin)
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