jeudi 9 avril 2009

Petit bémol

Je ne peux m'empêcher de le penser... et de le dire ! Les proprios de Mil Amores sont blancs; ils possèdent probablement d'immenses terrains. Ce sont des gens abolument charmants. Ils emploient une main d'oeuvre indigène, qui loge sur place, et qui paraît bien traitée et contente de son sort. Le responsable indigène du "restaurant" est un vrai chef ! C'est comme à la finca Columbia à Antigua, le paternalisme mode 19ème. Profiter de cet hébergement de rêve ne me permet pas de démêler les éventuels problèmes sociaux...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire